La qualité de l’air s’est nettement
améliorée au cours de ces dernières
années. Toutefois les concentrations élevées
de polluants lors du smog hivernal, qui est favorisé
principalement par les situations d’inversion thermique,
demeurent problématiques. Lors de ces situations typiques de
haute pression avec des vents faibles, une couche d’air chaud
se forme au-dessus de la couche d’air froide proche du sol, ce
qui empêche le mélange, ou un échange entre ces
deux couches. Les poussières fines
générées par les processus de combustion,
l’abrasion mécanique et la remise en suspension des
poussières déposées, aussi appelée
resuspension, ne peuvent plus s’échapper les vers
couches d’air supérieures avec pour conséquence
une augmentation des concentrations de poussières fines au
voisinage du sol.
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